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Les actions gagnent le chemin de la reprise

11 mars, 2024
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Contexte économique

Les principaux marchés boursiers mondiaux ont progressé en février 2024. Les marchés émergents ont légèrement surpassé leurs homologues des marchés développés. L’optimisme des investisseurs face aux bénéfices généralement positifs des entreprises a compensé les craintes que les données sur l’inflation plus tenaces que prévu n’incitent la Fed et d’autres banques centrales à retarder leur décision de réduire les taux d’intérêt. L’Amérique du Nord a dominé les principaux marchés développés en février en raison de la vigueur des États-Unis. L’indice Dow Jones des valeurs industrielles et l’indice S&P 500 du marché élargi ont clôturé à des niveaux historiquement élevés pendant plusieurs journées de négociation en février, tandis que l’indice composé Nasdaq fortement axé sur la technologie a atteint un record de clôture le dernier jour du mois. La région du Pacifique a été le principal marché développé à la traîne en février, l’Australie ayant enregistré des résultats négatifs pour le mois. L’Extrême-Orient a été la région la plus performante parmi les marchés émergents pour le mois, entraîné par la vigueur de la Chine. À l’inverse, l’Amérique latine a été la région la moins performante en raison de la faiblesse du Brésil.

Malgré quelques gains ciblés modestes, les marchés canadiens des titres à revenu fixe ont généralement baissé au cours du mois. Les actifs mondiaux à revenu fixe, présentés par l’indice obligataire Bloomberg Global Aggregate, ont reculé de 1,3 % en février. Les obligations à rendement élevé ont enregistré de légers gains au cours du mois et ont été en tête du marché américain des titres à revenu fixe, tandis que les obligations de sociétés et les titres du Trésor américain ont enregistré des pertes. En février, les rendements des titres du Trésor ont augmenté sur l’ensemble de la courbe, à l’exception du bon du Trésor à un mois. Les rendements des bons du Trésor à 2, 3, 5 et 10 ans ont augmenté de 0,37 %, 0,35 %, 0,38 % et 0,26 %, respectivement, au cours du mois. L’écart entre les bons à 10 ans et à 2 ans s’est élargi de -0,28 % à -0,39 % en février, et la courbe des rendements est restée inversée.

Les prix mondiaux des matières premières, mesurés par l’indice Bloomberg Commodity Total Return, ont baissé de 1,5 % en février. Les prix du pétrole brut West Texas Intermediate (WTI) et Brent se sont redressés au cours du mois, les tensions géopolitiques persistantes au Moyen-Orient ayant ravivé les inquiétudes des investisseurs quant à une perturbation des exportations de pétrole. Les prix du pétrole brut WTI et Brent ont terminé le mois de février avec des gains de 3,2 % et 1,7 %, respectivement. Le prix du gaz naturel au New York Mercantile Exchange (NYMEX) a chuté de 11,4 % au cours du mois, en raison d’un ralentissement de la demande dû à des températures hivernales supérieures à la moyenne aux États-Unis. La baisse de 0,6 % du prix de l’or au comptant s’explique par des données économiques américaines plus fortes que prévu et par la hausse des rendements du Trésor américain au cours du mois. (Les prix de l’or évoluent généralement à l’inverse des rendements obligataires.) Les prix du blé ont diminué de 3,2 % en février en raison d’une demande d’exportation relativement plus faible de la part des États-Unis.

Le compte-rendu de la réunion de la Fed des 30 et 31 janvier, publié le 21 février, a révélé que la plupart des membres du Federal Open Market Committee ont exprimé leur inquiétude quant à une réduction trop rapide des taux d’intérêt, au risque de raviver l’inflation. « La plupart des participants ont souligné les risques d’un assouplissement trop rapide de la politique monétaire ainsi que l’importance d’une évaluation minutieuse des données à venir pour juger si l’inflation se rapproche de 2 % de façon durable. » Sur une note plus pessimiste, quelques participants à la réunion « ont souligné les risques de dégradation de l’économie liés au maintien d’une position trop restrictive pendant trop longtemps… En discutant des considérations de gestion des risques qui pourraient influer sur les perspectives de la politique monétaire, les participants à la [réunion] ont fait remarquer que si les risques pour la réalisation des objectifs du Comité en matière d’emploi et d’inflation s’équilibraient, ils restaient très attentifs aux risques d’inflation ».

Sur le plan géopolitique, les conflits entre la Russie et l’Ukraine ainsi que Israël et le Hamas se sont poursuivis en février. L’invasion de l’Ukraine par la Russie a marqué son deuxième anniversaire le 24 février, sans grand espoir d’une résolution à court terme. Les dirigeants du parti républicain à la Chambre des représentants des États-Unis ont rejeté un projet de loi bipartisan approuvé par le Sénat qui prévoyait une aide militaire à l’Ukraine, à Israël et à Taiwan, ainsi que des réformes de l’immigration. À la fin du mois, les négociations en vue d’un cessez-le-feu dans la guerre entre Israël et le Hamas semblaient compromises à la suite d’un affrontement entre des soldats israéliens et des civils palestiniens à Gaza, de nombreux habitants ayant été pris dans une course chaotique pour s’approvisionner auprès de 30 camions acheminant de l’aide vers le territoire.

La coalition dirigée par les États-Unis et le Royaume-Uni (avec le soutien de l’Australie, du Bahreïn, du Canada, du Danemark et des Pays-Bas) a poursuivi son conflit militaire avec le mouvement Houthi, un groupe militant soutenu par l’Iran qui s’est emparé de Sanaa, la capitale du Yémen, en 2014. Fin février, la coalition a frappé 18 cibles houthies au Yémen, notamment des entrepôts d’armes souterrains, des entrepôts de missiles, des systèmes de défense aérienne, des radars et un hélicoptère. Dans un communiqué de presse, le Commandement central des États-Unis a indiqué que les frappes militaires visaient à « dégrader la capacité des Houthis et à perturber leurs attaques téméraires et illégales contre des navires américains et britanniques en mer Rouge, dans le détroit de Bab AI-Mandeb et dans le golfe d’Aden. » Les Houthis ont attaqué les bases militaires américaines en Irak et en Syrie, ainsi que de nombreux navires commerciaux en mer Rouge. Cette situation a obligé les compagnies maritimes internationales à rediriger leurs navires autour du Cap de Bonne Espérance, ce qui a exercé des pressions à la hausse sur les coûts du fret.

Banques centrales

  • Conformément aux attentes, la Banque du Canada a maintenu son taux d’intérêt au jour le jour à 5,00 % et a poursuivi sa politique de resserrement quantitatif à la suite de sa réunion du 6 mars. À l’instar de ses déclarations précédentes, le Conseil des gouverneurs de la Banque du Canada a de nouveau souligné que l’économie mondiale ralentissait, l’économie américaine étant étonnamment robuste et résiliente, tandis que l’inflation a continué de modérer. Le Conseil des gouverneurs prévoit que l’inflation se maintiendra autour de 3 % au cours du premier semestre de cette année, avant de modérer davantage. La prochaine réunion de la Banque du Canada est prévue pour le 10 avril.
  • Pendant une entrevue préenregistrée, diffusée début février à « 60 Minutes », un programme d’information de la chaîne de télévision CBS, le président de la Fed, Jerome Powell, a déclaré que la banque centrale se concentrait sur un calendrier pour un pivot vers des réductions de taux d’intérêt. Toutefois, il a précisé qu’un changement de politique monétaire n’était pas imminent. Citant la vigueur persistante de l’économie américaine, M. Powell a déclaré : « Nous pensons que nous pouvons aborder avec prudence la question de savoir quand commencer à réduire les taux d’intérêt. » M. Powell a souligné que la Fed cherche à s’assurer qu’elle ne laisse pas les taux d’intérêt trop élevés pendant trop longtemps, ce qui entraînerait un ralentissement économique, tout en réduisant les taux d’une manière qui ne ravive pas l’inflation. « Il n’y a pas de parcours simple et facile. Nous pensons que l’économie se porte bien. Nous pensons que l’inflation diminue. Nous voulons simplement être un peu plus certains de cette baisse. »
  • Dans un discours prononcé à la Cardiff University Business School au Pays de Galles le 1er mars, Huw Phill, l’économiste en chef de la Banque d’Angleterre, a déclaré que les baisses de taux d’intérêt n’étaient pas prévues pour bientôt. Il a commenté : « Je dois pouvoir observer des preuves plus convaincantes que la composante persistante sous-jacente de l’inflation de l’IPC britannique est ramenée à des taux compatibles avec une réalisation durable de l’objectif d’inflation de 2 % avant de voter en faveur d’une baisse du taux d’escompte. » M. Phill a également annoncé que la banque centrale allait très probablement mettre en œuvre un nouveau système de prévisions économiques qui évaluera l’impact sur les taux d’intérêt d’événements majeurs tels que la fermeture totale de la mer Rouge à la navigation. La Banque d’Angleterre a été critiquée pour avoir sous-estimé la hausse de l’inflation après la pandémie de COVID et l’invasion de l’Ukraine par la Russie. La prochaine réunion de politique monétaire de la Banque d’Angleterre est prévue pour le 21 mars.
  • Le 28 février, lorsqu’une apparition à Antena 3, une chaîne de télévision espagnole, Luis de Guindos, le vice-président de la Banque centrale européenne, a indiqué que malgré un ralentissement de l’inflation dans la zone euro, la banque centrale a besoin de voir plus de données sur l’inflation avant de réduire les taux d’intérêt. M. De Guindos a déclaré : « Lorsque les données que nous recevons sur l’inflation et l’inflation sous-jacente montreront clairement que nous nous approchons des 2 %, la politique monétaire sera modifiée. » Il a aussi affirmé que la désinflation se poursuivra « lorsque nos projections indiqueront que les données que nous recevons, tant sur l’inflation globale que sur l’inflation de base, montrent que nous nous rapprochons des 2 %, alors la direction de la politique monétaire changera ». Le Conseil des gouverneurs de la BCE tiendra sa prochaine réunion de politique monétaire le 7 mars.
  • Hajime Takata, membre du conseil d’administration de la Banque du Japon, a déclaré que la banque centrale pourrait prochainement mettre fin à sa politique de taux d’intérêt négatif. M. Takata a déclaré à des chefs d’entreprise locaux à Shiga, dans l’ouest du Japon : « Des incertitudes pèsent sur l’économie japonaise, mais je pense que l’objectif d’une inflation de 2 % est enfin en vue ». À la suite des remarques de M. Takata le 29 février, le yen japonais a augmenté de 0,7 % par rapport au dollar américain. La prochaine réunion de politique monétaire de la Banque du Japon est prévue pour les 18 et 19 mars.

Données économiques

sauf indication contraire, données provenant de Bloomberg

  • Selon Statistique Canada, les prix à la consommation (mesurés par la variation de l’indice des prix à la consommation [IPC]) sont restés stables en janvier, l’augmentation d’une année sur l’autre s’étant modéré à 2,9 %. Les prix de l’essence ont été plus faibles que pendant les périodes précédentes, tandis que les augmentations de prix des produits alimentaires ont décéléré. Parallèlement, les prix à la production ont été plus faibles, l’indice des prix des produits industriels (IPPI) ayant baissé de 0,1 % et l’indice des prix des matières brutes (IPPM) ayant augmenté de 1,2 % en janvier. En glissement annuel, les prix ont baissé de 2,9 % et de 6,4 %, respectivement, pour l’IPPI et l’IPMB. Les prix des produits pétroliers, des métaux et du bois se sont considérablement affaiblis par rapport à l’année précédente. L’économie canadienne a créé 41 000 emplois en février. Entre-temps, le taux de chômage a augmenté de 0,1 % pour s’établir à 5,8 %, la croissance de la population étant supérieure à celle de l’emploi.
  • Selon le département du Travail, l’indice des prix à la consommation (IPC) américain avait augmenté de 0,3 % en janvier, après avoir enregistré 0,4 % en décembre. L’IPC a progressé de 3,1 % en glissement annuel, soit la même augmentation annuelle qu’en décembre, ce qui est supérieur aux attentes. Les coûts des services d’énergie (services publics de gaz et d’électricité) et le logement ont le plus contribué à la hausse de l’IPC d’un mois sur l’autre, augmentant respectivement de 0,5 % et de 0,4 %. Les prix des aliments ont enregistré une hausse de 0,4 % au cours du mois et ont progressé de 2,6 % au cours de la période de 12 mois. La hausse de 3,9 % en glissement annuel de l’inflation de base, mesurée par l’IPC pour tous les articles à l’exclusion des aliments et de l’énergie, est restée inchangée par rapport à la hausse d’une année sur l’autre en décembre, soit la plus faible augmentation annuelle depuis août 2021. L’inflation de base a augmenté de 0,4 % en janvier, ce qui est légèrement plus élevé que la hausse mensuelle de 0,3 % en décembre. Selon l’estimation initiale du département du Commerce, le produit intérieur brut (PIB) des États-Unis a augmenté à un taux annualisé de 3,2 % au quatrième trimestre 2023, ce qui est légèrement inférieur à l’estimation initiale de 3,3 % et en baisse par rapport à la hausse de 4,9 % au troisième trimestre. L’économie américaine a progressé de 2,5 % au cours de l’année civile 2023, dépassant la hausse annuelle de 1,9 % enregistrée en 2022, soutenue principalement par l’augmentation des dépenses de consommation — qui représentent plus des deux tiers du PIB américain — et des investissements fixes non résidentiels (achats de structures non résidentielles, d’équipements et de logiciels). Les dépenses de consommation, les exportations, les dépenses de l’État et des collectivités locales et les investissements fixes non résidentiels ont le plus contribué à la croissance du PIB au cours du quatrième trimestre. Le gouvernement a attribué le taux de croissance économique plus faible du quatrième trimestre par rapport au trimestre précédent principalement à des ralentissements de l’investissement en stocks privés (une mesure des changements de valeur des stocks d’une période à l’autre) et des dépenses du gouvernement fédéral.
  • L’Office of National Statistics (ONS) a indiqué que l’inflation au Royaume-Uni, mesurée par l’indice des prix à la consommation (IPC), a reculé de 0,6 % en janvier, après une hausse de 0,4 % en décembre. L’IPC a progressé de 4,0 % sur 12 mois, ce qui correspond à l’augmentation annuelle du mois précédent. L’alcool et le tabac, ainsi que les communications, ont le plus contribué à l’augmentation annuelle. Ces facteurs ont plus que largement compensé la baisse des coûts du logement et des services liés au logement. L’inflation de base, qui exclut les prix volatils des denrées alimentaires, a augmenté à un taux annuel de 5,1 % en décembre, sans changement par rapport à l’augmentation d’une année sur l’autre en décembre. Il semble que l’économie britannique soit entrée en récession — définie comme deux trimestres consécutifs de croissance négative du PIB — à la fin de l’année dernière. Selon l’estimation initiale de l’ONS, le PIB du Royaume-Uni a reculé de 0,2 % au cours du quatrième trimestre de 2023, après une baisse de 0,1 % au troisième trimestre. Toutefois, le PIB est en hausse de 0,1 % en glissement annuel par rapport au quatrième trimestre 2022. La production a diminué de 1,0 % au cours des trois derniers mois de l’année 2023, principalement en raison d’une baisse notable dans l’industrie manufacturière. Le secteur des services a reculé de 0,2 % au quatrième trimestre, la faiblesse des sous-secteurs du commerce de gros et de détail, de la réparation d’automobiles et de motos et de l’éducation ayant contrebalancé la croissance des activités de services administratifs et de soutien. La production du secteur de la construction a chuté de 1,3 % au cours du quatrième trimestre, principalement en raison de baisses significatives dans les nouveaux projets, en particulier pour les nouveaux logements privés.
  • Eurostat a fixé le taux d’inflation de la zone euro à 2,8 % pour la période de 12 mois terminée en janvier, ce qui est légèrement inférieur à la hausse annuelle de 2,9 % enregistrée en décembre. Les prix des aliments, de l’alcool et du tabac ont augmenté de 5,6 % sur 12 mois en décembre, mais le rythme d’accélération s’est ralenti par rapport au taux annuel de 6,1 % enregistré le mois précédent. Les coûts des services et des biens industriels non énergétiques ont augmenté respectivement de 4,0 % et de 2,0 % d’une année sur l’autre. Par contre, les prix de l’énergie ont chuté de 6,1 % au cours des douze derniers mois, après une baisse annuelle de 6,7 % en décembre. L’inflation de base, qui exclut les prix volatils de l’énergie et des denrées alimentaires, a augmenté à un taux annuel de 3,3 % en janvier, en baisse de 0,1 point de pourcentage par rapport à la hausse de 3,4 % en glissement annuel en décembre. Selon la deuxième estimation d’Eurostat, le PIB de la zone euro est resté stable au quatrième trimestre 2023, soit une légère hausse par rapport à la baisse de 0,1 % enregistrée au troisième trimestre, mais a augmenté de 0,5 % pour l’année civile 2023. Les économies de la Slovénie, du Portugal et de Chypre ont été les plus performantes au quatrième trimestre, augmentant respectivement de 1,1 %, 0,8 % et 0,8 %. À l’inverse, le PIB de l’Irlande a baissé de 0,7 %, tandis que les économies de l’Estonie, de la Roumanie et de la Finlande se sont chacune contractées de 0,4 % au cours du trimestre.

Données indicielles

février 2024

  • L’indice composé S&P/TSX a gagné 1,82 %. 
  • L’indice obligataire universel Canada FTSE TMX a reculé de 0,34 %. 
  • L’indice S&P 500, qui mesure les actions américaines, a augmenté de 6,94 %. 
  • L’indice MSCI Monde tous pays (net), utilisé comme étalon pour évaluer le rendement des actions mondiales, a gagné 5,88 %. 
  • L’indice ICE BofA US High Yield Constrained, qui représente les marchés obligataires américains à rendement élevé, a produit 0,26 % (couvert contre le risque de change) et 1,82 % (non couvert). 
  • L’indice de la volatilité de la bourse d’options de Chicago, une mesure de la volatilité implicite de l’indice S&P 500 aussi connue sous le nom d’« indice de la peur », a légèrement reculé, passant de 14,35 à 13,40. 
  • Les cours du pétrole brut WTI Cushing, un indicateur clé des fluctuations du marché pétrolier, ont augmenté, passant de 75,85 $ US à 78,26 $ US le baril à la fin de février. 
  • Le dollar canadien s’est affaibli à 1,36 $ CA par $ US. Le dollar américain s’est en général raffermi par rapport aux principales devises mondiales. Il a terminé le mois de janvier à 1 099 $ US contre l’euro, à 1,26 $ US contre la livre sterling et à 149 670 yens.

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