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Les performances des marchés mondiaux divergent dans un contexte de volatilité

12 février, 2024
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Contexte économique

Malgré des périodes de volatilité, les marchés boursiers des pays développés ont terminé le mois de janvier 2024 en territoire positif, avec en tête les États-Unis, tandis que le Canada a accusé un retard notable, l’optimisme des investisseurs à propos de l’économie mondiale ayant compensé les inquiétudes liées aux tensions géopolitiques au Moyen-Orient et en Ukraine. Les marchés émergents ont quant à eux enregistré des rendements négatifs pour le mois. L’Amérique du Nord a dominé les principaux marchés développés en janvier, en raison de la bonne performance des États-Unis, qui a compensé le recul du Canada. Le Pacifique hors Japon a tiré de l’arrière principalement en raison de la faiblesse à Hong Kong et à Singapour. La région de l’Europe a été la plus performance au sein des marchés émergents, grâce à la vigueur de la Grèce et de la Hongrie. À l’inverse, les actions chinoises ont affiché les pertes les plus importantes parmi les marchés émergents en janvier.

Les actifs mondiaux à revenu fixe, représentés par l’indice Bloomberg Global Aggregate Bond, ont reculé de 1,4 % en janvier. Les obligations à rendement élevé ont affiché une performance stable au cours du mois, mais ont été en tête du marché américain des titres à revenu fixe, tandis que les obligations de sociétés et les titres du Trésor américain ont enregistré de légères pertes. Les rendements des titres du Trésor ont légèrement augmenté pour toutes les échéances supérieures à un an. Les rendements des bons du Trésor à 2, 3, 5 et 10 ans ont augmenté de 0,04 %, 0,04 %, 0,07 % et 0,11 %, respectivement, au cours du mois. L’écart entre les bons à 10 et 2 ans est passé -0,35 % à -0,28 % en janvier, et la courbe des rendements est restée inversée.

Comme prévu, le Federal Open Market Committee (FOMC) a maintenu le taux des fonds fédéraux dans une fourchette de 5,25 % à 5,50 % à l’issue de sa réunion des 30 et 31 janvier, mais a fait été de progrès dans le ralentissement de l’inflation. Dans un communiqué annonçant la poursuite de la pause dans son cycle de relèvement des taux, le FOMC s’est montré ouvert à des réductions de taux d’intérêt plus tard cette année, soulignant que « les risques pour atteindre les objectifs d’emploi et d’inflation [de la Fed] se rapprochent d’un meilleur équilibre. » Toutefois, la banque centrale a averti que les baisses de taux ne sont pas imminentes, car elle « ne s’attend pas à ce qu’il soit approprié de réduire la fourchette cible [des fonds fédéraux] tant qu’elle n’aura pas acquis une plus grande confiance dans le fait que l’inflation se rapproche durablement de 2 %… Le Comité serait prêt à ajuster l’orientation de la politique monétaire de manière appropriée en cas d’apparition de risques qui pourraient entraver la réalisation des objectifs du Comité. »

Sur le plan géopolitique, les États-Unis et le Royaume-Uni (avec le soutien de l’Australie, du Bahreïn, du Canada et des Pays-Bas) ont mené des frappes aériennes sur plusieurs cibles au Yémen tôt le matin du 23 janvier (heure locale du Yémen). Cette action militaire répondait aux attaques des rebelles houthis contre la navigation commerciale dans la mer Rouge, au large des côtes du Yémen. Le mouvement Houthi est un groupe militant soutenu par l’Iran qui s’est emparé de Sanaa, la capitale du Yémen, en 2014. Le groupe a attaqué des bases militaires américaines en Irak et en Syrie, ainsi que de nombreux navires commerciaux en mer Rouge, obligeant les compagnies maritimes internationales à dérouter leurs navires autour du cap de Bonne-Espérance en Afrique du Sud, ce qui a exercé une pression à la hausse sur les coûts du fret. Fin janvier, une milice soutenue par l’Iran a mené une attaque de drone contre une base militaire américaine en Jordanie, tuant trois soldats américains. Le président Joe Biden a indiqué que les États-Unis exerceraient des représailles à la suite de cette attaque.

Les prix mondiaux des produits de base, mesurés par l’indice Bloomberg Commodity Total Return, ont légèrement augmenté en janvier. Les prix du pétrole West Texas Intermediate et Brent ont d’abord grimpé en réaction à l’intervention militaire au Yémen avant de se replier, terminant le mois avec des gains de 5,9 % et de 4,6 % respectivement. Les prix du pétrole ont bénéficié des retraits de pétrole brut plus importants que prévu effectués par les entreprises du secteur de l’énergie. Le prix du gaz naturel sur le New York Mercantile Exchange (NYMEX) a chuté de 9,8 % en janvier en raison de la baisse de la demande causée par des températures hivernales supérieures à la moyenne aux États-Unis.

Le prix de l’or au comptant a fluctué, chutant avec la hausse des rendements du Trésor américain (le prix de l’or évolue généralement à l’inverse des rendements obligataires) pendant la majeure partie du mois, avant de se redresser au cours de la dernière semaine de janvier en réponse à des données économiques américaines relativement solides et à la baisse des rendements du Trésor. Le prix de l’or a terminé le mois avec une perte modeste de 0,2 %. La baisse de 5,2 % du prix du blé au cours du mois est attribuable à une demande relativement plus faible pour les exportations en provenance des États-Unis.

Banques centrales

  • Conformément aux attentes, la Banque du Canada a maintenu son taux d’intérêt au jour le jour à 5,00 % et a poursuivi sa politique de resserrement quantitatif à la suite de sa réunion du 24 janvier. Le Conseil des gouverneurs de la Banque du Canada a souligné que l’économie mondiale a ralenti, mais qu’elle est restée plus forte que prévu, les États-Unis ayant étonnamment bien résisté, tandis que l’inflation a continué de modérer. Le Conseil des gouverneurs continue de penser que l’inflation va continuer de diminuer et atteindra les objectifs de la Banque du Canada d’ici 2025. La prochaine réunion de la Banque du Canada est prévue pour le 6 mars.
  • Pendant la conférence de presse qui a suivi la réunion du FOMC le 31 janvier, le président de la Fed, Jerome Powell, a déclaré : « Il sera probablement approprié de commencer à réduire la politique restrictive éventuellement cette année, mais l’économie a surpris les prévisionnistes à bien des égards depuis la pandémie et la poursuite des progrès vers notre objectif d’une inflation de 2 % n’est pas assurée. » Lorsqu’on lui a demandé si la Fed avait réussi un « atterrissage en douceur » (dans lequel la croissance et l’inflation ralentissent, mais l’économie n’entre pas en récession), M. Powell a répondu : « Les progrès sont encourageants, mais nous ne crions pas victoire à l’heure actuelle. » 
  • Après sa réunion du 31 janvier, la Banque d’Angleterre a laissé le taux d’escompte inchangé à 5,25 %, son plus haut niveau en 15 ans. Toutefois, la décision n’a pas été unanime ; deux des neuf membres du Comité de politique monétaire de la Banque d’Angleterre ont soutenu une augmentation de 25 points de base, tandis qu’un autre membre a voté pour une réduction de 25 points de base. Dans son annonce de la décision de taux, la Banque d’Angleterre a commenté, « Le Comité juge que les risques liés à sa projection modale de l’inflation de l’indice des prix à la consommation sont biaisés à la hausse au cours de la première moitié de la période de prévision, en raison des facteurs géopolitiques. Il estime maintenant que les risques liés aux pressions intérieures sur les prix et les salaires sont plus équilibrés, ce qui signifie que, contrairement aux prévisions précédentes, il n’y a pas de différence entre les projections modales du Comité de politique monétaire pour les horizons de deux et trois ans. » 
  • La Banque centrale européenne (BCE) a laissé son taux d’intérêt de référence inchangé à 4,50 % lors de sa réunion du 25 janvier. Dans un communiqué annonçant la décision de taux, le Conseil des gouverneurs de la BCE a déclaré : « À part un effet de base à la hausse lié à l’inflation globale, la tendance à la baisse de l’inflation sous-jacente s’est poursuivie, et les augmentations passées des taux d’intérêt continuent de se transmettre avec force dans les conditions de financement. Le resserrement des conditions de financement freine la demande, ce qui contribue à faire baisser l’inflation. » La banque centrale a également réitéré son objectif de veiller à ce que « l’inflation revienne à son objectif à moyen terme de 2 % en temps voulu. En fonction de son évaluation actuelle, le Conseil des gouverneurs considère que les taux d’intérêt directeurs de la BCE se situent à des niveaux qui, maintenus pendant une période suffisamment longue, apporteront une contribution substantielle à la réalisation de cet objectif.
  • La Banque du Japon a laissé son taux d’intérêt de référence inchangé à -0,1 % après sa réunion de janvier. La banque centrale a également maintenu la limite supérieure de rendement de 1,0 % pour les obligations d’État japonaises à 10 ans qu’elle avait établie en juillet 2023 comme une “borne supérieure” plutôt qu’un plafond strict. Dans un communiqué annonçant les mesures de politique monétaire, la banque centrale a noté : “Avec des incertitudes extrêmement élevées entourant les économies et les marchés financiers au pays et à l’étranger, la Banque du Japon poursuivra patiemment l’assouplissement monétaire tout en réagissant avec agilité aux développements de l’activité économique et des prix ainsi que des conditions financières. Ce faisant, elle cherchera à atteindre l’objectif de stabilité des prix de 2 % d’une manière durable et stable, accompagnée d’augmentations salariales.”

Donnée économiques

Sauf indication contraire, données provenant de Bloomberg.

  • Selon Statistique Canada, les prix à la consommation (mesurés par la variation de l’indice des prix à la consommation [IPC]) ont reculé de 0,3 % en décembre, tandis que l’augmentation sur 12 mois s’est légèrement accélérée pour atteindre 3,4 %. Les variations mensuelles et annuelles des prix ont divergé, car les prix de l’essence ont été plus faibles au cours des derniers mois, mais sont maintenant supérieurs aux niveaux qu’il y a un an. Entre-temps, les prix à la production ont diminué, l’indice des prix des produits industriels (IPPI) et l’indice des prix des matières brutes (IPPM) ayant reculé respectivement de 1,5 % et de 4,9 % en décembre. En glissement annuel, les prix ont baissé de 2,7 % pour l’IPPI et de 7,9 % pour l’IPMB. La baisse des prix de l’énergie a alimenté le recul des prix à la production. L’évolution des prix des métaux a été assez mitigée, mais le coût du nickel a fortement baissé. L’économie canadienne a ajouté 37 000 emplois en janvier, après une faible variation de l’emploi au cours du quatrième trimestre 2023. Le taux de chômage a baissé de 0,1 % pour s’établir à 5,7 %, marquant la première baisse depuis décembre 2022. » 
  • Selon le département du Travail, l’indice des prix à la consommation (IPC) américain avait augmenté de 0,4 % en décembre, soit un taux plus élevé que prévu, après une hausse de 0,1 % en novembre. L’IPC a progressé de 3,4 % en glissement annuel, contre 3,1 % en novembre. Les coûts du logement et de l’énergie ont le plus contribué à la hausse de l’IPC d’un mois sur l’autre, augmentant respectivement de 0,5 % et de 0,4 %. Les prix des aliments ont enregistré une hausse de 0,2 % au cours du mois et ont progressé de 2,7 % au cours de la période de 12 mois. La hausse de 3,9 % en glissement annuel de l’inflation de base, mesurée par l’IPC pour tous les articles à l’exclusion des aliments et de l’énergie, a constitué la plus faible augmentation annuelle depuis août 2021 et a été légèrement inférieure à la hausse de 4,0 % en glissement annuel en novembre. L’inflation de base a augmenté de 0,3 % en décembre, ce qui correspond à la hausse du mois précédent. Selon l’estimation initiale du département du Commerce, le produit intérieur brut (PIB) des États-Unis a augmenté à un taux annualisé de 3,3 % au quatrième trimestre 2023, en baisse par rapport à la hausse de 4,9 % enregistrée au troisième trimestre, mais dépassant largement les attentes. L’économie américaine a progressé de 2,5 % au cours de l’année civile 2023, dépassant le gain annuel de 1,9 % enregistré en 2022, grâce à l’augmentation des dépenses de consommation — qui représentent plus des deux tiers du PIB américain — et des investissements fixes non résidentiels (achats de structures non résidentielles, d’équipements et de logiciels). Les dépenses de consommation, les exportations, les dépenses de l’État et des collectivités locales, ainsi que les investissements fixes non résidentiels ont le plus contribué au PIB du quatrième trimestre. Le gouvernement a attribué le taux de croissance économique plus faible du quatrième trimestre par rapport au trimestre précédent principalement au ralentissement des investissements en stocks privés (une mesure des changements de valeur des stocks d’une période à l’autre) et des dépenses du gouvernement fédéral.
  • Selon l’Office for National Statistics (ONS), les prix à la consommation au Royaume-Uni, mesurés par l’indice des prix à la consommation (IPC), ont augmenté de 0,4 % en décembre, après un recul de 0,2 % en novembre. L’IPC a augmenté de 4,0 % d’une année sur l’autre, en légère hausse par rapport à l’augmentation annuelle de 3,9 % pour le mois précédent. L’alcool et le tabac, ainsi que les produits alimentaires et les boissons non alcoolisées ont le plus contribué à la hausse de l’inflation sur 12 mois, et ont plus que compensé la baisse des coûts du logement et des services liés au logement. L’inflation de base, qui exclut les prix volatils des denrées alimentaires, a augmenté à un taux annuel de 5,1 % en décembre, ce qui correspond à l’augmentation d’une année sur l’autre en novembre. Selon l’estimation initiale de l’ONS, le PIB du Royaume-Uni a baissé de 0,2 % au cours de la période de trois mois se terminant le 30 novembre 2023 (la période de déclaration la plus récente) par rapport à la période de trois mois précédente se terminant le 31 août. Cependant, le PIB a augmenté de 0,2 % sur 12 mois en décembre. La production a diminué de 1,5 % au cours de la période de trois mois, principalement en raison d’un ralentissement notable de l’industrie manufacturière. Le secteur des services est resté relativement stable par rapport à la période de trois mois précédente, la croissance des activités de santé humaine et d’action sociale et de l’éducation ayant été compensée par la faiblesse de l’information et de la communication, ainsi que des arts, des spectacles et des activités récréatives. La production du secteur de la construction a baissé de 0,6 % au cours de la période, principalement en raison d’une baisse significative des nouveaux travaux, en particulier des nouveaux logements privés.
  • L’Eurostat a estimé le taux d’inflation pour la zone euro à 2,9 % pour la période de 12 mois se terminant en décembre, en hausse par rapport à la hausse annuelle de 2,4 % en novembre. Les prix des aliments, de l’alcool et du tabac ont augmenté de 6,1 % en glissement annuel en décembre, mais le rythme d’accélération a ralenti par rapport au taux annuel de 6,9 % pour le mois précédent. Les coûts des services et des biens industriels non énergétiques ont augmenté respectivement de 4,0 % et de 2,5 % au cours des 12 derniers mois. En revanche, les prix de l’énergie ont chuté de 6,7 % au cours de la période de 12 mois, après une baisse de 11,5 % en novembre. L’inflation de base, qui exclut les prix volatils de l’énergie et des denrées alimentaires, a augmenté à un taux annuel de 3,4 % en décembre, en baisse de 0,2 point de pourcentage par rapport à la hausse de 3,6 % en glissement annuel en novembre. Selon l’estimation préliminaire d’Eurostat, le PIB de la zone euro est resté stable au quatrième trimestre 2023, soit une légère hausse par rapport à la baisse de 0,1 % enregistrée au troisième trimestre, mais a augmenté de 0,5 % pour l’année civile 2023. Les économies du Portugal et de l’Espagne ont été les plus performantes au quatrième trimestre, avec une croissance de 0,8 % et 0,6 %, respectivement. À l’inverse, le PIB de l’Irlande a reculé de 0,7 % au cours de la période.

Données indicielles

Janvier 2024

  • L’indice composé S&P/TSX a augmenté de seulement 0,55 %. 
  • L’indice obligataire universel Canada FTSE TMX a reculé de 1,37 %. 
  • L’indice S&P 500, qui mesure les actions américaines, a augmenté de 3,03 %. 
  • L’indice MSCI Monde tous pays (net), utilisé comme étalon pour évaluer le rendement des actions mondiales, a gagné 1,92 %. 
  • L’indice ICE BofA US High Yield Constrained, qui représente les marchés obligataires américains à rendement élevé, a produit -0,03 % (couvert contre le risque de change) et 1,34 % (non couvert). 
  • L’indice de la volatilité de la bourse d’options de Chicago, une mesure de la volatilité implicite de l’indice S&P 500 aussi connue sous le nom d’« indice de la peur », a légèrement augmenté, car il est passé de 12,45 à 14,35. 
  • Les cours du pétrole brut WTI Cushing, un indicateur clé des fluctuations du marché pétrolier, ont augmenté, passant de 71,65 $ US à 75,85 $ US le baril à la fin de janvier. 
  • Le dollar canadien s’est affaibli à 1,34 $ CA par $ US. Le dollar américain s’est en général raffermi par rapport aux principales devises mondiales. Il a terminé le mois de janvier à 1,09 $ US contre l’euro, à 1,27 $ US contre la livre sterling et à 146,18 yens.

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